En tant que formateur en codage, une question revient sans cesse : “Le métier de formateur en codage est-il fait pour moi ?”. Nombreux sont ceux qui, passionnés par l’informatique et le désir de partager leur savoir, envisagent cette voie.
Pourtant, le codage, souvent perçu comme complexe et abstrait, peut sembler intimidant à enseigner. De plus, les technologies évoluent si vite qu’il est parfois difficile de rester à jour !
Alors, comment savoir si vous avez l’étoffe d’un bon formateur en codage ? Et quelles sont les compétences clés à maîtriser pour exceller dans ce domaine en constante évolution ?
Penchons-nous sur ces questions essentielles et voyons ensemble les aspects fondamentaux du métier. Vous découvrirez les défis à relever, les qualités requises, et les perspectives d’avenir de ce domaine passionnant.
Les dernières tendances en matière d’apprentissage du codage, telles que l’essor du “no-code” et les outils d’IA pour faciliter la programmation, seront également abordées.
Nous explorerons les meilleures pratiques pédagogiques et les stratégies pour engager les apprenants de tous âges. Afin de répondre à vos interrogations, explorons ensemble ces sujets plus en détail dans l’article ci-dessous.
Alors, prêt à plonger dans le monde fascinant de la formation en codage ? Accrochez-vous, on décolle !
Est-ce que j’ai vraiment les épaules pour enseigner le code ?
C’est la question que tout le monde se pose, et c’est normal ! On peut être un excellent codeur, mais être capable de transmettre ses connaissances, c’est une autre paire de manches.
Ai-je la patience d’un moine tibétain ?
Imaginez-vous face à un apprenant qui bute sur une simple boucle pendant des heures. Ou qui mélange allègrement les virgules et les points-virgules. La patience est votre meilleure arme.
Il faut savoir décomposer les problèmes, expliquer les concepts de différentes manières, et surtout, ne jamais décourager l’apprenant. J’ai un ami, Thomas, qui est un développeur hors pair.
Il code des trucs incroyables, mais quand il essaie d’expliquer quelque chose, il s’énerve au bout de cinq minutes. Résultat : ses élèves sont complètement perdus !
Alors, patience, patience, et encore patience !
Suis-je capable de vulgariser des concepts complexes ?
Le codage, c’est parfois du charabia pour les non-initiés. Il faut être capable de transformer ce charabia en quelque chose de compréhensible. Imaginez que vous devez expliquer le concept d’une API à votre grand-mère.
Comment feriez-vous ? C’est ça, la vulgarisation ! Il faut trouver des analogies, des exemples concrets, et surtout, éviter le jargon technique.
Par exemple, j’explique souvent le concept d’une fonction en utilisant une recette de cuisine. Les ingrédients sont les paramètres, la recette est le code, et le plat final est le résultat.
Ça marche à tous les coups !
Est-ce que j’aime vraiment le contact humain ?
Être formateur, c’est avant tout être un pédagogue. Il faut aimer le contact humain, être à l’écoute des besoins des apprenants, et savoir créer un environnement d’apprentissage stimulant et motivant.
Si vous êtes du genre à préférer coder seul dans votre coin, ce n’est peut-être pas le métier idéal pour vous. Personnellement, j’adore voir mes élèves progresser, les voir s’épanouir et développer leurs compétences.
C’est ça, la plus belle récompense !
Quelles sont les compétences techniques indispensables ?
Bien sûr, il ne suffit pas d’être patient et pédagogue. Il faut aussi avoir de solides compétences techniques.
Maîtriser au moins un langage de programmation sur le bout des doigts
On ne peut pas enseigner quelque chose qu’on ne maîtrise pas. Il faut donc choisir un ou deux langages de programmation et les connaître sur le bout des doigts.
Personnellement, je suis un grand fan de Python. C’est un langage polyvalent, facile à apprendre, et très utilisé dans de nombreux domaines. Mais il y a aussi JavaScript, Java, C#, etc.
Le choix dépend de vos affinités et des besoins du marché. L’important, c’est d’être capable de répondre à toutes les questions de vos élèves, même les plus pointues.
Avoir une bonne connaissance des outils de développement
Un bon formateur doit aussi maîtriser les outils de développement utilisés par les professionnels. On parle ici des IDE (Integrated Development Environment) comme VS Code, IntelliJ, ou Eclipse, des systèmes de gestion de versions comme Git, des outils de débogage, des frameworks, etc.
Il faut être capable d’aider les élèves à configurer leur environnement de travail, à résoudre les problèmes techniques, et à utiliser les outils de manière efficace.
J’ai passé des heures à aider mes élèves à configurer Git. Croyez-moi, c’est un investissement qui en vaut la peine !
Se tenir informé des dernières tendances
Le monde du développement évolue à une vitesse folle. Il faut donc se tenir informé des dernières tendances, des nouveaux langages, des nouveaux frameworks, des nouvelles technologies.
On ne peut pas se permettre de rester figé sur ses acquis. Personnellement, je lis des blogs spécialisés, je suis des conférences en ligne, et je participe à des projets Open Source.
C’est un effort constant, mais c’est indispensable pour rester pertinent et crédible.
Comment structurer un cours de codage efficace ?
La pédagogie, c’est un art. Il ne suffit pas de balancer des informations à la volée. Il faut structurer son cours de manière logique et cohérente.
Définir des objectifs clairs et précis
Avant de commencer un cours, il est essentiel de définir des objectifs clairs et précis. Qu’est-ce que les élèves doivent être capables de faire à la fin du cours ?
Quels sont les concepts clés qu’ils doivent maîtriser ? Plus les objectifs sont clairs, plus il est facile de structurer le cours et de mesurer les progrès des élèves.
Par exemple, si l’objectif est d’apprendre à créer une application web avec React, il faut décomposer cet objectif en étapes plus petites : apprendre les bases de JavaScript, comprendre le fonctionnement de React, créer des composants, gérer les états, etc.
Alterner théorie et pratique
Un cours de codage ne doit pas être une succession de leçons théoriques ennuyeuses. Il faut alterner théorie et pratique, en proposant des exercices concrets, des projets à réaliser, des défis à relever.
Les élèves apprennent en faisant, en expérimentant, en se trompant. Il faut les encourager à coder, à tester, à modifier le code, à chercher des solutions.
Personnellement, j’essaie de consacrer au moins 50% du temps à la pratique. Je propose des exercices de difficulté croissante, et j’encourage les élèves à travailler en binôme ou en groupe.
Proposer un suivi personnalisé
Chaque élève est unique. Certains apprennent plus vite que d’autres, certains ont plus de difficultés sur certains concepts, certains ont des besoins spécifiques.
Il est donc essentiel de proposer un suivi personnalisé, d’être à l’écoute des besoins de chacun, et d’adapter son enseignement en conséquence. Par exemple, si un élève a des difficultés avec les boucles, je vais lui proposer des exercices supplémentaires, lui expliquer les concepts différemment, et lui donner des exemples concrets.
| Aspect | Description | Exemple |
|---|---|---|
| Compétences Techniques | Maîtrise des langages, outils de développement, veille technologique. | Connaissance approfondie de Python, utilisation de Git, suivi des tendances en IA. |
| Compétences Pédagogiques | Patience, vulgarisation, écoute, création d’un environnement stimulant. | Expliquer les APIs avec une recette de cuisine, encourager la collaboration. |
| Structure du Cours | Définition d’objectifs, alternance théorie/pratique, suivi personnalisé. | Objectif clair d’une application web React, exercices pratiques progressifs. |
| Adaptabilité | Évolution des technologies, nouveaux outils, adaptation aux apprenants. | Intégration des outils “no-code” dans la formation, adaptation aux besoins individuels. |
Comment s’adapter aux nouvelles tendances du marché ?
Le marché du travail évolue, et les besoins des entreprises aussi. Il faut donc adapter son enseignement aux nouvelles tendances du marché.
Intégrer les outils “no-code” et “low-code”
Les outils “no-code” et “low-code” permettent de créer des applications sans écrire une seule ligne de code, ou en écrivant très peu de code. Ces outils sont de plus en plus utilisés par les entreprises, car ils permettent de gagner du temps et de réduire les coûts.
Il est donc important d’intégrer ces outils dans son enseignement, et d’apprendre aux élèves à les utiliser de manière efficace. Par exemple, on peut utiliser des outils comme Bubble, Webflow, ou Zapier pour créer des applications web sans coder.
Explorer les possibilités offertes par l’IA
L’intelligence artificielle est en train de révolutionner le monde du développement. De nombreux outils d’IA sont désormais disponibles pour aider les développeurs à coder plus vite et plus efficacement.
Il est donc important d’explorer ces outils, et d’apprendre aux élèves à les utiliser. Par exemple, on peut utiliser des outils comme GitHub Copilot ou Tabnine pour générer du code automatiquement, ou des outils comme TensorFlow ou PyTorch pour créer des modèles d’IA.
Se spécialiser dans un domaine porteur
Le monde du développement est vaste. Il est donc important de se spécialiser dans un domaine porteur, comme le développement web, le développement mobile, la data science, ou la cybersécurité.
En se spécialisant, on devient un expert dans un domaine, et on augmente ses chances de trouver un emploi. Personnellement, je me suis spécialisé dans le développement web avec React.
C’est un domaine très demandé, et qui offre de nombreuses opportunités.
Comment se faire connaître et trouver des élèves ?
Être un bon formateur, c’est bien. Mais encore faut-il se faire connaître et trouver des élèves.
Créer un site web ou un blog
Un site web ou un blog est un excellent moyen de se faire connaître et de montrer son expertise. On peut y publier des articles, des tutoriels, des exemples de code, des témoignages d’élèves, etc.
Il faut soigner le design et le contenu, et optimiser le site pour le référencement naturel (SEO). Personnellement, j’ai un blog où je publie régulièrement des articles sur le développement web.
Ça me permet d’attirer des visiteurs intéressés par mes cours.
Utiliser les réseaux sociaux
Les réseaux sociaux sont un excellent moyen de se connecter avec des prospects et de promouvoir ses cours. On peut y partager des articles, des vidéos, des photos, des annonces, etc.
Il faut choisir les réseaux sociaux adaptés à sa cible, et publier régulièrement du contenu de qualité. Personnellement, j’utilise LinkedIn et Twitter pour promouvoir mes cours.
Participer à des événements et des conférences
Les événements et les conférences sont un excellent moyen de rencontrer des prospects, de se faire connaître, et de se tenir informé des dernières tendances.
On peut y donner des présentations, animer des ateliers, participer à des tables rondes, etc. Personnellement, je participe régulièrement à des conférences sur le développement web.
En conclusion, devenir formateur en codage est un défi passionnant qui demande de la patience, de la pédagogie, et de solides compétences techniques. Mais c’est aussi un métier gratifiant qui permet de transmettre son savoir et de contribuer à l’épanouissement des autres.
Alors, si vous êtes passionné par le codage et que vous aimez le contact humain, n’hésitez plus, lancez-vous ! Alors, prêt à plonger dans le monde fascinant de la formation en codage ?
Accrochez-vous, on décolle !
Est-ce que j’ai vraiment les épaules pour enseigner le code ?
C’est la question que tout le monde se pose, et c’est normal ! On peut être un excellent codeur, mais être capable de transmettre ses connaissances, c’est une autre paire de manches.
Ai-je la patience d’un moine tibétain ?
Imaginez-vous face à un apprenant qui bute sur une simple boucle pendant des heures. Ou qui mélange allègrement les virgules et les points-virgules. La patience est votre meilleure arme. Il faut savoir décomposer les problèmes, expliquer les concepts de différentes manières, et surtout, ne jamais décourager l’apprenant. J’ai un ami, Thomas, qui est un développeur hors pair. Il code des trucs incroyables, mais quand il essaie d’expliquer quelque chose, il s’énerve au bout de cinq minutes. Résultat : ses élèves sont complètement perdus ! Alors, patience, patience, et encore patience !
Suis-je capable de vulgariser des concepts complexes ?
Le codage, c’est parfois du charabia pour les non-initiés. Il faut être capable de transformer ce charabia en quelque chose de compréhensible. Imaginez que vous devez expliquer le concept d’une API à votre grand-mère. Comment feriez-vous ? C’est ça, la vulgarisation ! Il faut trouver des analogies, des exemples concrets, et surtout, éviter le jargon technique. Par exemple, j’explique souvent le concept d’une fonction en utilisant une recette de cuisine. Les ingrédients sont les paramètres, la recette est le code, et le plat final est le résultat. Ça marche à tous les coups !
Est-ce que j’aime vraiment le contact humain ?
Être formateur, c’est avant tout être un pédagogue. Il faut aimer le contact humain, être à l’écoute des besoins des apprenants, et savoir créer un environnement d’apprentissage stimulant et motivant. Si vous êtes du genre à préférer coder seul dans votre coin, ce n’est peut-être pas le métier idéal pour vous. Personnellement, j’adore voir mes élèves progresser, les voir s’épanouir et développer leurs compétences. C’est ça, la plus belle récompense !
Quelles sont les compétences techniques indispensables ?
Bien sûr, il ne suffit pas d’être patient et pédagogue. Il faut aussi avoir de solides compétences techniques.
Maîtriser au moins un langage de programmation sur le bout des doigts
On ne peut pas enseigner quelque chose qu’on ne maîtrise pas. Il faut donc choisir un ou deux langages de programmation et les connaître sur le bout des doigts. Personnellement, je suis un grand fan de Python. C’est un langage polyvalent, facile à apprendre, et très utilisé dans de nombreux domaines. Mais il y a aussi JavaScript, Java, C#, etc. Le choix dépend de vos affinités et des besoins du marché. L’important, c’est d’être capable de répondre à toutes les questions de vos élèves, même les plus pointues.
Avoir une bonne connaissance des outils de développement
Un bon formateur doit aussi maîtriser les outils de développement utilisés par les professionnels. On parle ici des IDE (Integrated Development Environment) comme VS Code, IntelliJ, ou Eclipse, des systèmes de gestion de versions comme Git, des outils de débogage, des frameworks, etc. Il faut être capable d’aider les élèves à configurer leur environnement de travail, à résoudre les problèmes techniques, et à utiliser les outils de manière efficace. J’ai passé des heures à aider mes élèves à configurer Git. Croyez-moi, c’est un investissement qui en vaut la peine !
Se tenir informé des dernières tendances
Le monde du développement évolue à une vitesse folle. Il faut donc se tenir informé des dernières tendances, des nouveaux langages, des nouveaux frameworks, des nouvelles technologies. On ne peut pas se permettre de rester figé sur ses acquis. Personnellement, je lis des blogs spécialisés, je suis des conférences en ligne, et je participe à des projets Open Source. C’est un effort constant, mais c’est indispensable pour rester pertinent et crédible.
Comment structurer un cours de codage efficace ?
La pédagogie, c’est un art. Il ne suffit pas de balancer des informations à la volée. Il faut structurer son cours de manière logique et cohérente.
Définir des objectifs clairs et précis
Avant de commencer un cours, il est essentiel de définir des objectifs clairs et précis. Qu’est-ce que les élèves doivent être capables de faire à la fin du cours ? Quels sont les concepts clés qu’ils doivent maîtriser ? Plus les objectifs sont clairs, plus il est facile de structurer le cours et de mesurer les progrès des élèves. Par exemple, si l’objectif est d’apprendre à créer une application web avec React, il faut décomposer cet objectif en étapes plus petites : apprendre les bases de JavaScript, comprendre le fonctionnement de React, créer des composants, gérer les états, etc.
Alterner théorie et pratique
Un cours de codage ne doit pas être une succession de leçons théoriques ennuyeuses. Il faut alterner théorie et pratique, en proposant des exercices concrets, des projets à réaliser, des défis à relever. Les élèves apprennent en faisant, en expérimentant, en se trompant. Il faut les encourager à coder, à tester, à modifier le code, à chercher des solutions. Personnellement, j’essaie de consacrer au moins 50% du temps à la pratique. Je propose des exercices de difficulté croissante, et j’encourage les élèves à travailler en binôme ou en groupe.
Proposer un suivi personnalisé
Chaque élève est unique. Certains apprennent plus vite que d’autres, certains ont plus de difficultés sur certains concepts, certains ont des besoins spécifiques. Il est donc essentiel de proposer un suivi personnalisé, d’être à l’écoute des besoins de chacun, et d’adapter son enseignement en conséquence. Par exemple, si un élève a des difficultés avec les boucles, je vais lui proposer des exercices supplémentaires, lui expliquer les concepts différemment, et lui donner des exemples concrets.
| Aspect | Description | Exemple |
|---|---|---|
| Compétences Techniques | Maîtrise des langages, outils de développement, veille technologique. | Connaissance approfondie de Python, utilisation de Git, suivi des tendances en IA. |
| Compétences Pédagogiques | Patience, vulgarisation, écoute, création d’un environnement stimulant. | Expliquer les APIs avec une recette de cuisine, encourager la collaboration. |
| Structure du Cours | Définition d’objectifs, alternance théorie/pratique, suivi personnalisé. | Objectif clair d’une application web React, exercices pratiques progressifs. |
| Adaptabilité | Évolution des technologies, nouveaux outils, adaptation aux apprenants. | Intégration des outils “no-code” dans la formation, adaptation aux besoins individuels. |
Comment s’adapter aux nouvelles tendances du marché ?
Le marché du travail évolue, et les besoins des entreprises aussi. Il faut donc adapter son enseignement aux nouvelles tendances du marché.
Intégrer les outils “no-code” et “low-code”
Les outils “no-code” et “low-code” permettent de créer des applications sans écrire une seule ligne de code, ou en écrivant très peu de code. Ces outils sont de plus en plus utilisés par les entreprises, car ils permettent de gagner du temps et de réduire les coûts. Il est donc important d’intégrer ces outils dans son enseignement, et d’apprendre aux élèves à les utiliser de manière efficace. Par exemple, on peut utiliser des outils comme Bubble, Webflow, ou Zapier pour créer des applications web sans coder.
Explorer les possibilités offertes par l’IA
L’intelligence artificielle est en train de révolutionner le monde du développement. De nombreux outils d’IA sont désormais disponibles pour aider les développeurs à coder plus vite et plus efficacement. Il est donc important d’explorer ces outils, et d’apprendre aux élèves à les utiliser. Par exemple, on peut utiliser des outils comme GitHub Copilot ou Tabnine pour générer du code automatiquement, ou des outils comme TensorFlow ou PyTorch pour créer des modèles d’IA.
Se spécialiser dans un domaine porteur
Le monde du développement est vaste. Il est donc important de se spécialiser dans un domaine porteur, comme le développement web, le développement mobile, la data science, ou la cybersécurité. En se spécialisant, on devient un expert dans un domaine, et on augmente ses chances de trouver un emploi. Personnellement, je me suis spécialisé dans le développement web avec React. C’est un domaine très demandé, et qui offre de nombreuses opportunités.
Comment se faire connaître et trouver des élèves ?
Être un bon formateur, c’est bien. Mais encore faut-il se faire connaître et trouver des élèves.
Créer un site web ou un blog
Un site web ou un blog est un excellent moyen de se faire connaître et de montrer son expertise. On peut y publier des articles, des tutoriels, des exemples de code, des témoignages d’élèves, etc. Il faut soigner le design et le contenu, et optimiser le site pour le référencement naturel (SEO). Personnellement, j’ai un blog où je publie régulièrement des articles sur le développement web. Ça me permet d’attirer des visiteurs intéressés par mes cours.
Utiliser les réseaux sociaux
Les réseaux sociaux sont un excellent moyen de se connecter avec des prospects et de promouvoir ses cours. On peut y partager des articles, des vidéos, des photos, des annonces, etc. Il faut choisir les réseaux sociaux adaptés à sa cible, et publier régulièrement du contenu de qualité. Personnellement, j’utilise LinkedIn et Twitter pour promouvoir mes cours.
Participer à des événements et des conférences
Les événements et les conférences sont un excellent moyen de rencontrer des prospects, de se faire connaître, et de se tenir informé des dernières tendances. On peut y donner des présentations, animer des ateliers, participer à des tables rondes, etc. Personnellement, je participe régulièrement à des conférences sur le développement web.
En conclusion, devenir formateur en codage est un défi passionnant qui demande de la patience, de la pédagogie, et de solides compétences techniques. Mais c’est aussi un métier gratifiant qui permet de transmettre son savoir et de contribuer à l’épanouissement des autres. Alors, si vous êtes passionné par le codage et que vous aimez le contact humain, n’hésitez plus, lancez-vous!
En guise de conclusion
Voilà, on arrive au bout de ce parcours. J’espère que cet article vous a donné un aperçu clair des compétences et des stratégies nécessaires pour devenir un formateur en codage efficace. N’oubliez pas, la passion, la patience et l’adaptabilité sont vos meilleurs alliés. Alors, lancez-vous et inspirez la prochaine génération de codeurs !
N’hésitez pas à me contacter si vous avez des questions ou si vous souhaitez partager votre expérience. Je suis toujours ravi d’échanger avec des passionnés de la formation en codage.
Bon courage dans votre aventure et à bientôt !
Infos utiles à savoir
1. Pôle Emploi propose des formations gratuites pour les demandeurs d’emploi qui souhaitent se reconvertir dans le domaine du développement web. Renseignez-vous sur les formations AFPR et POEI.
2. De nombreuses plateformes en ligne comme OpenClassrooms, Udemy et Coursera proposent des cours de formation en codage. Comparez les offres et choisissez celle qui correspond le mieux à vos besoins et à votre budget.
3. Le Compte Personnel de Formation (CPF) peut être utilisé pour financer des formations en codage. Vérifiez votre solde et les formations éligibles sur le site officiel du CPF.
4. Les événements tels que le DevFest Nantes ou le BreizhCamp sont d’excellentes occasions de rencontrer d’autres professionnels du secteur, de se tenir informé des dernières tendances et de trouver des opportunités d’emploi.
5. Le site La French Tech propose des ressources et des événements pour les entrepreneurs et les professionnels du numérique en France. Consultez leur agenda pour ne rien manquer.
Récapitulatif des points clés
1. Patience et pédagogie : La capacité à expliquer des concepts complexes de manière simple et à accompagner les apprenants est cruciale.
2. Maîtrise technique : Une connaissance approfondie d’au moins un langage de programmation et des outils de développement est indispensable.
3. Adaptabilité : Le monde du codage évolue constamment, il est donc important de se tenir informé des dernières tendances et d’adapter son enseignement en conséquence.
4. Structure du cours : Un cours de codage efficace doit être structuré de manière logique, avec des objectifs clairs et précis, et alterner théorie et pratique.
5. Promotion : Pour trouver des élèves, il est important de créer un site web ou un blog, d’utiliser les réseaux sociaux et de participer à des événements et des conférences.
Questions Fréquemment Posées (FAQ) 📖
Q: Faut-il être un expert en codage pour devenir formateur ?
R: Pas forcément un expert absolu, mais une solide base est indispensable. L’important, c’est de maîtriser les fondamentaux et d’être capable de les expliquer clairement.
J’ai vu des formateurs débutants, certes moins calés techniquement que certains experts, mais tellement passionnés et pédagogues qu’ils ont su transmettre l’envie d’apprendre à leurs élèves.
L’humilité est une force : reconnaître ses limites et savoir où chercher l’information est parfois plus précieux que de tout savoir. De plus, se former continuellement est crucial, car le domaine évolue à vitesse grand V !
Q: Quelles sont les qualités essentielles d’un bon formateur en codage ?
R: La patience, sans aucun doute ! J’ai passé des heures à déboguer des codes avec des apprenants, en répétant les mêmes explications encore et encore. L’empathie est également primordiale : comprendre les difficultés de chacun, s’adapter à leur rythme, c’est la clé.
Et puis, il faut être un bon communicant, capable de vulgariser des concepts complexes et de les rendre accessibles. J’me souviens d’un cours où j’avais réussi à expliquer les “boucles” en utilisant l’exemple des files d’attente à la boulangerie… Ça a marché du tonnerre !
Enfin, la passion pour le codage est contagieuse : si vous aimez ce que vous faites, vos élèves le ressentiront.
Q: Quelles sont les perspectives d’avenir pour les formateurs en codage ?
R: Elles sont excellentes ! La demande de compétences en programmation explose dans tous les secteurs d’activité. Que ce soit pour le développement web, l’intelligence artificielle, la data science ou la cybersécurité, les entreprises cherchent désespérément des talents.
Les formateurs en codage sont donc très recherchés pour accompagner cette transformation numérique. De plus, avec l’essor du “no-code” et des outils d’IA, de nouvelles opportunités émergent pour former des profils plus “business” à l’utilisation de ces technologies.
J’ai personnellement aidé une ancienne vendeuse à monter en compétence sur une plateforme no-code pour automatiser ses tâches. Elle a doublé son chiffre d’affaires en quelques mois !
La formation en codage est donc un investissement d’avenir, tant pour les formateurs que pour les apprenants.
📚 Références
Wikipédia Encyclopédie
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